1945 à 1949
Réalisation des premières piles, pour montres-bracelet électriques, Samuel Ruben et Philip Rogers Mallory. Cylindriques et de la grosseur d'un bouton, elles fonctionnent l'oxyde de mercure et ont une autonomie proche d'un an.
Cette énergie se substitue progressivement à celle du ressort moteur au moment où l'énergie mécanique atteint ses limites. Dès 1934, le degré de précision qu'elle offre permet de détecter les variations de la Terre au moyen de l'horloge à Quartz (Mouvement). Mais pour conquérir la montre, il lui faudra attendre l'apparition des premières piles miniaturisées.
Réalisation des premières piles, pour montres-bracelet électriques, Samuel Ruben et Philip Rogers Mallory. Cylindriques et de la grosseur d'un bouton, elles fonctionnent l'oxyde de mercure et ont une autonomie proche d'un an.
Premiers prototypes de montres-bracelet électriques, de constructions différentes, mais résultant d'une collaboration entre les ingénieurs des firmes Lip (France) et Elgin (U.S.A.). Dotées d'un circuit électrique composé d'une pile, d'une bobine et d'un microcontact, ces montres ont la même précision que celles à énergie mécanique grâce à leur balancier-spiral traditionnel. Ces montres seront lancées sur le marché cinq ans plus tard.
L'ingénieur en électronique américain Jack St Clair KILBY dépose le brevet du premier circuit intégré le 06 02 1959. Si la paternité du circuit électronique intégré lui est attribuée, le dispositif de Robert NOYCE, plus fiable et développé en même temps, sera la base de tous les développements ultérieurs.
Les performances des montres à énergie électrique rejoignent celles des chronomètres traditionnels.
Des montres-bracelet à diapason battent les records existants et des montres de poche à Quartz (Mouvement) surpassent les exploits de leurs homologues mécaniques.
Mise sur le marché de la montre-bracelet électronique à balancier spiral Dynotron.
Réalisation du premier prototype d'une montre-bracelet à quartz, baptisée Bêta 1 par le Centre Electronique Horloger de Neuchâtel. L'année suivante, 1967, elle participe aux concours de chronométrie. Sa précision est douze fois supérieure à celle des chronomètres mécaniques et six fois à celle des chronomètres à diapason.
Lancement commercial de la montre-bracelet à quartz à diodes électroluminescentes (LED) Pulsar par Hamilton.
Lancement commercial de la montre-bracelet à diapason compensé Mosaba par Ebauches S.A.
Le 25 décembre, la Seiko Quartz Astron 350SQ, d'une précision d'une minute par an, est présentée à Tokyo.