5. Culture — des montres aux gestes de la main en passant par la dolce vita : J’ai besoin d’une vie mouvementée pour me sentir vivant, mais j’adore les personnes âgées, leur manière de parler, de raconter, et ce qu’elles me font ressentir quand elles partagent leurs histoires, quand elles s’habillent, quand elles mangent, quand elles prennent le soleil. Pour moi, c’est quelque chose que l’on doit préserver et chérir, car c’est ce qui rend notre culture si belle, nos montres si séduisantes, et notre peuple si différent. Les montres sont mon univers, mais elles ne sont pas suffisantes sans tout cet imaginaire, sans cet écosystème.
En quelques mots, je me décrirais comme un collectionneur passionné qui a fait de cette passion un métier, devenu aujourd’hui créateur de contenu et consultant pour des acteurs de l’horlogerie, basé à Milan mais toujours tourné vers le monde.