Incontournable montre-bijou
Grönefeld, qui peine à réponde à un niveau de commandes jamais résorbé, va-il réitérer l’aventure dans le segment féminin ? En tout état de cause, les frères Grönefeld semblent bien décidés à tenter « le coup » avec la Tanfana 1944, le premier modèle pour femme de la Maison. Pour l’occasion, elle adopte un nouveau design, étayé par des matériaux inédits dans l’univers Grönefeld comme l’aventurine. De son côté, Piaget s’est inspirée des formes du passé pour proposer une nouvelle Sixtie trapézoïdale déclinée en montre bracelet ou en sautoir, tandis que Charriol dévoilait une gamme Mariner et Hermès une collection Maillon Libre en tout point conforme à la créativité de la marque. « Cette montre-bracelet, à la fois énigmatique et singulière, séduit par sa complexité de fabrication, ses pierres de centre, diamants ou tourmalines terracotta, et ses formes ondulatoires, précise Hermès. Quant à l’heure, discrète, presque imperceptible, grâce à un boîtier incorporé au design du bracelet, elle ajoute une touche de malice et de surprise. » Un narratif qui n’est pas totalement étranger à Van Cleef & Arpels dont la montre Cadenas, une création de 1935, trouve grâce et discrétion au poignet dans ses versions contemporaines.